21 novembre 2013
Inséparables
Très loin dans les latences, mon amant des dimanches diluviens se terre sous des ronces puériles, il fomente mais ne tait rien. Mon amant des dimanches diluviens n'a peur de rien que des pommes écarlates et bavantes de sucre. Il habite les étincelles de conscience qui survivent dans les latences, il étouffe le secret et ronge son frein. Alors en boucle passe mon amour, agaçe ma patience, lasse mes illusions. Il faut faire réserve de mon amant des dimanches diluviens, n'en perdre rien. Les latences en boucle feront leur temps mais les dimanches des amants diluviens Eux dureront toujours.
Il existe une alcôve gardée où se cacher des tumultes insensés.
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