15 mai 2014
studieuse...
dans l'attente interminable.
Mais des rêves d'été tiède et bucolique au bout des cils.
Des fleurs coupées imprimées sur le marbre blanc de la table.
... La grande cour ombragée, la terre fraiche, le torrent, mon refuge défendu, mon réfuge violé, je brûlerai l'encens de myrte pour le laver.
J'entrevois une nouvelles alcôve de retrouvailles et de douceurs.
Je vois nous et des rêves réalisés.
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